Les mystères de Paris

Seigneur Jésus, Seigneur Jésus, Seigneur Jésus ! Comment vous adressez mon infinie reconnaissance ? En mon cœur, Vous me faites la grâce d'éclairer ma conscience !

Rêve : « En voiture, à Paris, nous nous rendons au musée. Valérie, Emma, moi-même allons visiter un musée archéologique. Nous passons devant le musée, mais nous ne trouvons pas de place pour garer la voiture. Nous allons un peu plus loin, mais toujours pas de place. Nous arrivons aux abords d'une usine désaffectée. C'est curieux, de découvrir au cœur de Paris, une vieille usine depuis longtemps éteinte.

Nous y garons la voiture. A ce moment là, voici des gens, touristes ; ils nous demandent où se trouve l'église dédiée à Saint François d'Assise. J'ignorais qu'il exista une église à Paris dédiée au Saint. Un Saint si cher à mon cœur. Finalement un groupe d'une douzaine de touristes se constitue et nous réclame de leur faire visiter, commenter, découvrir philosophiquement l'église. Nous sommes surpris de cette demande : comment ces touristes peuvent-ils imaginer que l'on pourrait satisfaire leur demande ? »

Cela pose la question de notre rôle, un rôle dont on ignore la dimension, et bien sur la finalité. Ce qui semble probable, c'est que l'on sous-estime trop souvent ce rôle. Et que l'élever à la conscience requiert une démarche courageuse et surtout complexe sans jamais être sûr d'en atteindre le contenu. Cela valide aussi l'idée émise par certains philosophes, que le consensus collectif juge illuminés, selon lesquels nous sommes en nous-même un univers infini et que par conséquent, les confins de ce que nous sommes, là où nos possibilités introspectives n'osent pénétrer, ces lieux mystérieux, irrationnels, nous sont parfaitement inconnus.

Seigneur Jésus, Seigneur Jésus, Seigneur Jésus pardonnez mon ignorance. J'ai beau me promettre de me loger dans Votre cœur, mon ignorance crasse m'en empêche trop souvent. Mais grâce à Vous, j'en nourris l'intention.