Face aux forces du mal.....
- ramoncelli
- 19 janv. 2015
- 2 min de lecture

Les forces du mal s'infiltrent partout, même dans ces contrées ou les autochtones étaient, il n'y a pas si longtemps, nourris d'une relation à la nature, à l'autre, à la tradition du partage de la communauté, aux valeurs ancestrales. Notamment en ce qui concerne le respect des anciens, de la vie, de la vie simple proche d'une animalité instinctive qui leur faisait respecter leur environnement. Et puis ces forces du mal qui se cachent derrière une religion, elle-même innocente des exactions de ceux qui s'en prévalent, pour atteindre des objectifs très douteux, engagent des miséreux, ou des âmes perdues, parfois envieuses des mirages que leur offre l'occident. Il est probable que la recherche de gains, de pouvoir, de possessions matérielles soient les véritables enjeux du déploiement de cette barbarie. Derrière l'étendard de la religion se cachent mal les volontés de domination, de réduire en esclavage les plus faibles en instaurant la terreur. Et les esprits faibles, les plus facilement manipulables se laissent leurrer. Coupés fraîchement de leurs racines, évoquées plus haut, frustrés de ne pouvoir accéder au matérialisme triomphant, cherchant à toute fin le coupable, ils se précipitent dans les bras de ces monstres dirigeant, organisant leur propre conquête à leur seul profit. Beaucoup de pays occidentaux se plient aux exigences de ces fanatiques et renoncent à la liberté d'expression au prétexte que cela mettrait davantage d'huile sur le feu. Mais ils ne comprennent pas que si vous cédez sur le droit simple de la liberté d'expression par exemple, vous serez amenés à céder sur d'autres plans jusqu'à subir la manipulation issue de la terreur et de la peur qu'elle inspire aux plus faibles ou aux désarmés devant l'inhumanité. Il nous faut résister. Rien ne résiste au rire libérateur. Opposons aux forces démoniaques le rire et la joie. Je suis et en vérité. Face au mal, imposons la vérité. Toute figure révélatrice d'un dogme, n'est pas l'esprit de ce dogme. Seul celui-ci nous importe et fait l'objet d'un engagement personnel. La dépendance au dogme doit être soumise à un examen sévère et critique. En conséquence, l'expérience de Dieu en soi est par essence, une affaire personnelle. De ce point de vue, la laïcité renvoie la filiation aux dogmes sur un pied d'égalité. A partir de là, le rire devient une clé qui nous permet de considérer l'abus du dogme et nous laisse face à notre conscience dans la relation à son esprit. C'est peut être là, ce qui inquiète les fanatiques. Ceux-ci, les fanatiques, envahis par la peur, n'aspirent qu'à la soumission au dogme et plongent par conséquent dans l'irresponsabilité, agis par des forces obscures issues de leur inconscient sauvage, là ou gisent les plus épouvantables pulsions.
Je suis et en vérité, verticale face à Dieu et en Dieu, conscient et responsable, et pour m’ôter toute tentative inflationniste, étant fier de ce constat, je me livre corps et âme au rire, en n'oubliant pas d'abord, l'objet de ce rire moqueur, et oh combien salvateur.
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